« Nous poursuivrons notre politique ferme à l’égard du Niger, qui consiste à ne pas reconnaître les putschistes et à soutenir Bazoum… Le problème au Niger, ce sont désormais les putschiste . Si la CEDEAO abandonne Bazoum, les dirigeants du groupe seront en danger. Si nous n’étions pas intervenus militairement en Afrique, le Niger, le Mali et le Burkina Faso n’existeraient pas aujourd’hui avec leurs frontières connues …J’ai entendu des voix de Washington et des capitales européennes appeler à ne pas exagérer dans la gestion de la situation au Niger… Notre politique au Niger est claire et nous la tirons du courage du président Bazoum et de nos principes et intérêts militaires. Notre ambassadeur à Niamey restera malgré les pressions des putschistes
Emmanuel Macron salue le travail de l’ambassadeur de France toujours en poste à Niamey malgré l’expiration de l’ultimatum lancé par la junte.
Journal voix d’Afrique