Ce dix décembre, les chefs d’État de l’organisation ouest-africaine se penchent de nouveau sur la situation à Niamey. Plus de quatre mois après le renversement de Mohamed Bazoum, la CEDEAO continue de privilégier la voie diplomatique et le recours aux sanctions.
Le monde est témoin que la médiation est en panne sèche. Quant à une intervention militaire au Niger, envisagée pour réinstaller Mohamed Bazoum dans le fauteuil présidentiel. Plus personne ne semble vraiment y croire même le commandant Emanuel Macron, Président français est aujourd’hui en arrière plan.
(CNSP), Conseil national pour la sauvegarde de la patrie est
dans le bras de ses frères de la sous-région qui semblent comprendre aujourd’hui pourquoi le coup d’État à été réalisée contre l’ex président Mohamed Bazoum, sont appelés à cordonnées leur point de vue pour la prospérité du Niger et les pays voisins enfin d’être libre et dans toutes les plans souverainistes.
Alors la question est à savoir que deviendra l’avenir de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Attendons de voir la communiquer finale de ce dix décembre, d’ou les chefs d’État de l’organisation ouest-africaine se penchent de nouveau sur la situation à Niamey.
Par : Sama Kingsley