Le passage du régime présidentiel au régime parlementaire continue de faire les débats aux scène de la classe politiques comme sociétés civiles au Togo. Ceci n’a pas laissé inaperçu l’éminent ministre des Enseignements primaire et secondaire, Komla Dodji Kokoroko, à faire entendre sa voix, dit avoir du respect pour l’opposition de son pays . Mais la réalité, « elle a juridiquement tort ». Selon monsieur Kokoroko, l’un de cadre du parti majorité les critiques de parti de l’opposition ne pas fondées quand à lui.
« L’opposition a été politiquement absente du jeu politique ». « Si ces partis n’avaient pas boycotté les législatives de 2018, ils auraient eu des députés et auraient alors pu se prononcer librement », a-t-il affirmé vendredi, et relayé par nos confrères de Republicoftogo.
Le Prof Kokoroko Komla Dodji estime pour sa part qu’il faut « dépassionner le débat et dédramatiser les évolutions constitutionnelles ». À ce bras de fer entre pouvoir et opposition.
A rappeler que si cette Constitution est promulguée et si le parti au pouvoir repasse le 20 avril prochain, le chef de l’État, Faure Gnassingbé, ne sera plus chef de l’État. Mais deviendra président du Conseil des ministres, élu par les députés.